remerciementsUn vendredi de février gris et froid comme un jour d'enterrement. La petite chapelle du château était pleine à craquer de ses parents et de tous ses amis venus l'accompagner jusqu'au cimetière. La délicate sobriété du pasteur, la pathétique sonorité de l'orgue, ne pouvaient faire oublier le sourire rayonnant de notre Ulrike bien aimée. Chacun a pu jeter sur son cercueil une fleur : tulipe, fraisia, orchidée, ou un petit bouquet de violettes, avant qu'un monceau de fleurs ne recouvre tout le caveau. Que tous ceux qui étaient présents, physiquement ou par la pensée, soient infiniment remerciés tant ils ont contribués à adoucir la peine de son mari, de ses enfants et de tous ses proches. |